Comportements en images - PAGES 1


Voici quelque exemple de comportement normal d'un lapin accompagné de quelques explications. Bien sûr il y en a beaucoup d'autre, cette galerie n'est pas exhaustive ! Vous pourrez retrouver d’autres photographies de comportement dans la galerie « Insolite ».



1. Le bâillement

Difficile à observé car rare et fugace. Comme pour nous c'est une façon de détendre la mâchoire. Généralement il intervient après une phase de sommeil et peu avant le réveil complet. Il peu être suivit d'étirement avant la reprise d'une pleine activité.

 Attention il ne faut pas confondre avec la posture d'intimidation très semblable, d'ouverture de la bouche pour montrer les dents, qu'un lapin peu faire - généralement quand vous le manipulez et qu'il n'a vraiment pas envis. C'est alors un signe d'agressivité. Il vous prévient, si vous continué il vous mordra pour de bon !





2. La langue                                               

Le lapin a une longue langue, un peu râpeuse mais pas autant que celle d'un chat. Pour la voir il faut attendre qu'il bâille, face sa toilette, se lèche les babines, après avoir but ou mangé ou si il y a une gêne sur le museau. Selon le cas vous pouvez aussi la voir quand il vous fait des léchouilles, le summum de la marque d'affection qu'un lapin peut vous faire ou quand le lapin fait sa toilette de façon aussi fuguasse.

 

Et non aucun trucage pour cette photo, la langue d'Arrow et bien aussi longue !



3. La surprise                                         

Kyo adopte une posture caractéristique de surprise ! Le corps tendu, tous les muscles près à fuir, les oreilles pointées vers le danger... Ici il a identifié son frère et n'a donc pas prit la fuite, mais si il se serait agit d'un renard il n'aurait eu que peut de chance. Pour éviter cela un lapin reste toujours sur ces gardes ! Sauf si il se sent dans un environnement sûr, mais parfois, un geste brusque ou un objet qui tombe, peu provoquer la même réaction suivit d'une fuite panique.



4. Les représailles !

Le lapin est un animal très fière et facilement vexable !

Ici Kyo, qui vient de ce faire surprendre par son frère (photo ci-dessus), a de suite remis les pendules à l'heure avec lui, et lui a fait passer l'envi de recommencer, lol. Sur cette image, (photo ci-dessous à gauche), Kyo à la bouche ouverte, les dents vers l'avant. Une course poursuite et une touffe de poils en moins plus tard et les re- voila bon ami. J'ai un jour réussi à vexer Marco en lui disant qu'il "en avait une plus petite que celle d'Yvo" ! Aussi subjectif que fut ma phase, il à parfaitement compris ! Et ma fait la tête un bon moment ! lol.

Kyo, vexé, et en pleine représailles contre son frère qui la surpris juste avant en jouant.

Ce jeune mâles sub-adulte, fait face à un autre mâle hors champ de l'image. Sa posture est caractéristique, oreille et tête en avant, tous les muscle tendue près à bondir sur son opposant.

 

Le même mâles, fait un démarrage en trombe, croyant à l'attaque de Marco, visible juste derrière lui. Tous son corps est tendu, ses sens en alerte, un rien le fait réagir, tant en défense qu'en attaque.



Ce jeune mâle montre de l'agacement lors d’un jeu (attrape salade), frustré de ne pas y arriver, le corps est en avant, museau face à l’objectif, il couche les oreilles, juste un bref instant. ces dernières ne sont pas un bon indicateur de l'humeur du lapin, contrairement aux chevaux, le lapin utilise d'autre signe avant coureur de son mécontentement.

Autre cas, Voici deux mâles, Marco à gauche est mature et Ask à droite est un jeune "ados". Même si Marco n'est pas vraiment d'humeur agressive, (c'est une bonne patte), Ask lui était sur le qui vive. Marco a à peine avancé le museau que Ask à fait un grand bon pour fuir, A remarquer qu'il est toutes griffes "écartés", près à ce battre !

Ici, Kandaly (femelle brune à gauche) refuse les avances, même si timides de Marco (mâle à droite). Elle se ramasse, couche les oreilles et fait mine de lui mordre le nez ! Sans le touché, c’est un avertissement ! Marco n'a pas vraiment réagit et à continuer à la suivre sans trop de motivation. Ce n'est pas du tout un foudre d'amour, lol.



5. L’allaitement

Contrairement à l’allaitement chez les suidés (cochons and Co) ou chaque porcelets s’attribuent une mamelle à la naissance qu’il gardera tout au long de sa croissance, chez les lapins, c’est un grand bazar à chaque tété ! C’est au plus rapide, agile, fors au chanceux d’avoir les mamelles les plus fournis. De même là ou les mamans suidés émettes  un grognement pour dire « c’est l’heure » suivit d’un autre type « rassurant » tout au long de la tété et enfin un dernier pour dire « c’est fini », je n’ai jamais détecté un signe ni entendu de son que la lapine pourrait émettre à l’intention de ces bébés. A remarquer que comme les lapereaux naissent aveugles et sourds, un tel signale ne serait pas très efficace.  A noter également que les lapereaux nouveaux nés ont déjà de solides petites dents, pourtant il ne blesse pas leur maman.

Bébé qui tète.

On peu voir la tètine.

Têté a une des tétines entre les antérieurs.


Généralement après le colostrum (premier lait) très riche, surtout en anti-core ce qui permet aux bébés de bénéficier de la protection immunitaire de leur maman, la lapine aura une monté de lait de plus en plus importante jusqu'à deux à trois semaines après la naissance. En suite le volume de lait décroit progressivement et régulièrement. Le but est qu’au alentour de deux mois à trois mois, il n’y ais plus de lait. Entre temps les petits sont passés aux aliments solides de façon très progressive, cela en imitant maman ce qui leur permet un sevrage alimentaire en douceur, et garanti de solide lapereaux parfaitement autonomes alimentairement au moment du sevrage et de l’adoption. 


J’ai constaté que les tétés se produise tard dans la nuit avec de très jeune bébé, plus de 00h à 4h du matin, puis s’avance lentement de plus en plus tôt au fur et à mesure que les petits grandissent. Vers un mois elle à lieu entre 22h et 00 h. A deux mois, cela se rapproche d’entre 20h à 22h.
J’ai constaté également des tétés en plein jours, pour cela il suffit qu’un des bébés réclame en essayant d’atteindre les mamelles, si maman accepte les autres fondent sur elle pour avoir leur part 


Pour atteindre les mamelles qui se situe sur le vendre de la lapine et sont apparemment d’un nombre variable qui produise, de 8 pour une grande lapine et 4 à 6 pour une lapine de petite taille - les lapereaux jouent de souplesses pour se coucher sur le dos sous le ventre de maman. Cela donne un chahut empressé jusqu'à ce que chacun aient une mamelle. Quand le nombre bébés est supérieur au nombre de mamelles, les premiers arrivés sont les premier servis. Mais la nature est bien faite et une fois rassasiés les premiers bébés s’écartent et laisse leur place aux autres. Le second  service me semble toutefois un peu moins long. Mais comme les petits mangent rapidement des alimentes solide en complément du lait (dés une dizaine de jours) les différences éventuel de taille s’estompes vite.

Les bébés sont voraces ! Il est facile de le constater sur des tous petits, car leur ventre ce rebondie de façon spectaculaire et en transparence de la peau leurs  ventre se colore de blanc !

Au nid la tété se déroule comme suit : c’est la lapine qui va défaire le nid, pour ce placer au dessus de ses bébés puis elle referme le nid soigneusement. Il est a remarquer, que les bébés ne sont pas sans liens sensoriel avec l’extérieur, c’est à sens demander si ils sont vraiment sourd, je pense en effet qu’ils détectent au moins certain son, car il suffit de simuler la venue de la lapine en bruissant du foin même hors contact du nid pour que les bébés vocalisent de petits couinements, trop chou ! Ils font de même si ils sentent ou même présentes une présence au dessus du nid, même sans contact. Une façon de motiver maman !  Se sont les seules moments ou les bébés vocalises, sinon, le silence règnes dans le nid. Il arrive cependant qu’une autre lapine atteigne un nid, alors elle n’hésite pas à blesser et même tuer les petits, ces derniers pousse alors des cris aigus de peur et e douleur, c’est poignant !
Un bébé ayant était agressée et qui serait pris en main, aura de grande chance de crier de nouveau, tout contact qui ne lui semble pas « normal » lui fera peur. Il est alors bon de le manipuler, c'est obligatoire pour le soigner, cela le désensibilise et recréera la confiance quand on le touche et le tranquillisera, au final le lapereau sera parfaitement comme les autres en comportement. 

L'ont peux voir ici le ventre bien remplit !

Le même lapereau de profil.

Deux bébés de 8 jours, très grassouillets !


Au alentour de 5 à 10 jours : le nourrissage ce fait toujours au nid, mais les lapereaux (au yeux non ouvert mais bientôt), n'hésitent pas à sortir à la recherche de leur maman et sont de vrais petits morphales ! Toujours à lui courir après, il est alors bien que la lapine dispose d’un étage, pour sa tranquillité. C’est au plus tenace d’arrivé à tété plus souvent que les autres, ce qui explique que certain lapereaux peuvent être à la limite de l’obésité alors que d’autres sont sveltes, au même âge. Cette différence à tendance à s’atténuer par la suite, car finalement maman nourrit tous le monde de façon relativement homogène. Les gassouillées perdent aussi du poids quand ils commencent à courir partout, a ce moment là les sveltes eux sont beaucoup plus efficaces dans leur exploration.

A la recherche de la tétine...

Tétée tête en haut, pas très confortable...

Tétée tête en bas, c'est bien mieux !

En fin de tété, le lapereau se

retourne.



A plus d’un mois : Les allaitements deviennent de plus en plus « sportifs » car les lapereaux ont déjà une taille conséquente. Les tétés sembles toute fois être devenues un rituel, bien rodé et un signe mystérieux donne le signale.

A deux mois et plus : Ce sont déjà de beau «bébés» la maman fait son devoir avec stoïcisme, pourtant elle a du mal à se tenir debout au dessus de la mêlé ! Selon la portée, la maman, le nombre de bébé et les conditions de vie, la lapine, peu garder ou "tolérer" ses lapereaux un bon moment tout en continuant à les allaiter bien qu’elle n’ait plus beaucoup de lait.


6. L'intelligence
Le lapin est un animal très intelligent, je le dirais même d’avantage qu’un chien ou qu’un chat lambda, car son comportement va au delà, de juste combler ses besoins élémentaire (nourriture, reproduction…) du  jeu dominant/dominé et même de ses instincts primitif. Un lapin ira bien plus loin, jusqu'à  adopter des comportements digne d’un enfant de 3 ans voir 5 ans pour certain. Avec une réflexion à plusieurs degrés et une très bonne mémorisation ! En bref de réelle faculté d’apprentissage !

Voici plusieurs exemples de comportements  malin, jusqu’à franchement intelligent dont j’ai eu la chance d’assister de la part de mes lapinoux…

 

Cas n°1 : Libération de son petit ami !

Voici Lady de loin la plus intelligente de tous mes lapins ! Amoureuse de Largo, c’est elle qui avait l’initiative, durant ses sorties, elle à réussi à ouvrir plusieurs système de fermeture de son box, comme de celui de Largo, histoire de passer de bon moments en couple, Lol. Elle à réussi à ouvrir une porte en « vitrine » des panneaux de verre coulissant le long l’un de l’autre et ceux de l’intérieur comme de l’extérieur en utilisant ses griffes.
Puis quand j’ai placée une cale, elle l’a enlevée puis à fait coulisser la vitre, libérant Largo. Quand je suis passée aux portes avec grille fine (vielle cage à hamster) avec une petite trappe, elle à réussi à l’ouvrir même si elle était bien « serré ». J’ai placée une tige en métal en travers et elle l’a enlevé, puis à ouvert la trappe ! Puis une pince, ca elle n’a pas réussi ! Mais elle est passée au verrou ! Comme je ne le rabattais pas elle l’a fait glisser ! Toujours dans le but de libérer son Largo !

Solution : J’ai fini par placer largo dans un box en hauteur, verrou, trappe and Co étant plus accessibles, elle n’a plus réussi à libérer son amoureux…


Image à venir...

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Cas n°2 : Ou comment boire quand ont à pas sa gamelle ?
Voici deux exemples atypiques. J’aime à passer mes longues heures d’ordinateur avec une boule de poils, ils ont leur petit coin sur mon bureau, tantôt en auteur tantôt « planquer » dans un range papier, Lol. Certain préfère faire la sieste sur le lit tout proche ou le tapis. Mais voilà parfois sa dur longtemps et ils n’ont pas envi de traverser tout l’appartement pour aller boire un petit coup… Hors il y a toujours un verre d’eau qui traine…
Voici donc la méthode de Souris d'Alandris (devenu Sushi dans sa nouvelle famille) :
Ce petit garçon encor tout jeune à l’époque est venu me surprendre à boire avec délicatesse dans mon verre bien plein. Il n’en a pas renversé une goute ! Même quand le niveau est devenue trop bas pour juste boire les pattes sur le rebord. Le voilà qui incline le verre doucement et continu son apéritif en gardant un équilibre si parfait que le niveau d’eau n’a pas changer durant son étanchement.


Souris (Sushi), qui vient boire dans mon verre. Il l'a même penché pour atteindre l'eau sans le renverser !


Un deuxième exemple, avec Horatio d’Alandris, qui lui n’a eu qu’un fond de verre, pas moyen d’y arrivé par le haut, alors il a couché le verre sans le casser et à laper la flaque d’eau !

 

Cas n°3 : Le passe muraille !

Laslo d’Alandris, mue par une motivation primale (aller de l’autre coté de la barrière pour jouer le joli cœur auprès d’une jolie lapine) va passer par plusieurs niveaux de raisonnement, à mon propre étonnement.
D’un coté Lazlo, qui est musclé, sportif avec une très bonne détente. Au centre le « mur » un ensemble de panneaux en mélaminé de 80 cm de haut sur 60 de large qui coupe la pièce en deux. De l’autre coté, une jolie jeune lapine…
Etape 1 : Lazlo fait le tour de sont territoire et recherche une faille. Il n’en trouve pas mais repère trois endroits prometteur, qu’il va essayer à tour de rôles.
Etape 2 : Essais des trois endroits Le premier est le lieu de contacte entre le panneau de mélaminé et un clapier. Malin ! Car il à pris dés son premier essais, appuis sur la porte et la grille du clapier pour arrivé à atteindre le haut du panneau. Deux essais avec un très beau style de bond en trois touché (sol, clapier et haut du panneau) et c’est gagner ! Je bloc cette accès en surélevèrent le « mur » de mélaminé, avec une pièce rapiécé.
Essais numéros deux, au milieu d’un panneau, sans aucun appuis. Là il a du développer une vraie technique. Plusieurs de mes lapinoux ont essayés, mais il n’y a que Lazlo qui à réussi à sauter le mur à cette endroit hors coup e chance. Son secret ? Au lieu de juste sauter, et de glisser avec ses griffes sur la surface  lise du mélaminé, ce petit malin, utilise ses pattes avant et ses griffes à l’instar d’un chat pour s’agripper au rebord du panneau. Le reste, et un très gros effort uniquement sur ses antérieur pour littéralement se hisser au dessus du « mur ». Et hop c’est passé ! A remarqué qu’il à mis une quinzaine de saut à développer cette méthode, qu’il à répéter depuis, il a donc mémorisé cette façon de faire et maintenant il passe le mur à sa convenance !
Dernier essais, une fois cette méthode de saut « agrippé » au point il a cherché un endroit plus facile et là testé à l’endroit ou ce « mur » de mélaminé fait un angle ! Un bel exemple de mélange entre le passage facile en appuis sur le clapier et le passage plus « musclé » au milieu du panneau.
Mais l’histoire ne s’arrêt pas là !

Etape 3 : Pour éviter qu’il ne passe de l’autre coté, j’ai placée des morceaux de carton avec des pinces, pour surélever le « mur » aux endroits ou il passe, a remarqué qu’il insiste à ces lieux. Lazlo, ce retrouve entouré d’une barrière de plus 1,20 m de haut. Et malgré cela je le retrouve du mauvais coté ! Mais comment à t’il fait ? Ne le voyant pas faire quand je suis présente je place mon appareil photo en mode caméra et je repars. Et là surprise ! Mr à trouver une nouvelle parade.

Le voilà qui change totalement de stratégie, il ne franchi plus le « mur » mais va sauté à 90 cm de haut sur son clapier, puis fait un bon de 80 cm de long pour arriver sur la tranche du « mur »,de là il saut en contrebas, et le voilà chez sa copine !
Ce coté là je ne l’avais pas surélevé, à 90 cm en mur lise… Je pensé être tranquille ; c’était mal le connaitre.

Etape 4 : Par la suite, tellement impatiens de faire le mur, il n’attendait même plus que je quitte la pièce, j’ai même pus le rattraper au vol à plusieurs reprises et à peine replacer chez lui, il repasser de l’autre coté. J’ai alors joué le jeu t et ai proposé plusieurs alternatives à sa motivation…
J’ai place un grand carton monté donc en volume, en équilibre sur la tranche du « mur ». Mr Lazlo, fidèle à son endroit de passage favori, c’est retrouver devant un obstacle de plus 1.50m de hauteur et dépassant de son coté. Obstiné, poussé par ces hormones, le voila a faire au petit gallo, le tour de son domaine cherchant de nouveau une faille. Finalement, il se décide ! Un bon ! Sut trop cour ! Un deuxième lui permet  de frôler le bas du carton des moustaches… Une idée lui vient… Troisième bon, et il touche le carton et confirme sont idée, le carton n’est pas fixé, il à bougé ! Ah ! Le plan est prés ! Au quatrième bon, il saute à 10 cm du « mur » pour pouvoir du bout de la patte pousser le carton ! Ce dernier bouge, mais ne tombe pas. Lazlo recommence et cette fois le carton bascule, le chant est libre ! Le bon suivant il applique sa méthode du « chat » et le voilà chez sa copine.

Je récupère Lazlo et le replace de son coté puis je remets le carton. Mon petit malin à mémoriser, et loin de refaire bond par bond tout le chemin, à ma grande surprise il saute et ce jet littéralement la tête la premier sur le carton et tous deux retombe en vrac du coté de la fifille !

Le même exercice proposé une semaine plus tard à mené au même résultat il a testé le carton puis à de suite foncé dessus ! Et ceux quelque soit la taille du carton !


Solution : Après moult teste, idées, recherche architectural, j’ai trouvé la solution. En placent un panneau d’un certain poids tout de même (entre carton et bois) en horizontale sur la tranche du « mur » il ne peut plus « s’agripper » au rebord et passer. Il à alors fait des essais tous plus infructueux les uns que les autres pour passer, obtenant au mieux la chute du panneau horizontal dans un grand fracas, ce qui me fait venir et le remettre en place… Une autre chose a beaucoup aidé, diminuer sa motivation à passer de l’autre coté ! Ainsi ce n’est plus une jolie lapine qui l’attend de l’autre coté mais un autre mâle !  Infiniment moins motivant !
A remarque que ce petit jeu du « mur » c’est passer pendant sa crise d’ados, le moment ou un super jeune lapereau gentille, sage et agréable à vivre se transforme en vraie petit monstre, ne respectant plus rien, tant-il est gonflé d’hormone ! Ah l’âge ingrat ! Ce passage à duré 6 mois pour lui et il faut vraiment l’aimer pour le supporter ! Mais enfin le voici à l’âge adulte, beaucoup plus calme, posé, un vrai amour, qui respecte le « mur » même si ce dernier n’est plus rehaussé ! Il peu le passer à sa grise mais ne le fait pas.

Remarquer : le panneau étant opaque, Lazlo saute sans savoir ce qu’il y a de l’autre coté ce qui lui à valu de belle gamelle sur les « joués » de sa colocataire, lol.

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